LYRICS:

Le doute plane sur nos têtes, ad vitam aeternam
Une ombre sur le bitûme guette nos âmes,
Sa froideur n'a d'égal que la détente de son arme,
Sensible comme le drame au détour d'une tour en flamme.

Les prophéties se réalisent, les témoignages se falsifient,
Les lettres anonymes se multiplient, la violence s'intensifie,
Des types sans défense défigurés pour un délit d'faciès,
Avec facilité l'oiseau funeste nous étourdit d'une facétie.

Mais trêve de fantaisies, tout est triste ici,
Justiciers contre justiciables, toujours justifier l'injustifiable,
Si tu reste ici, on te crucifie, on te calomnie,
On te pourchasse la nuit dans les rêves que tu cache au fond d'ton lit.

Quand tu te glisse dans tes draps les bandes sortent,
Toujours sous escorte semer la peur dans une ville morte,
Le crépuscule emmène avec lui ses cohortes vêtues de noir,
Et les cris des corbeaux, épilogue d'une sombre histoire.

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CHORUS:
Depuis sa potence le passeur d'âme grignote des os,
Solitario calvario entre funestos huesos,,
Le silence ne se posera plus sur un buste de Pallas,
Con intensa locura grito el cuervo nunca mas.
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El amargo perfume de la muerte invade mi morada
Cual vetusto cuervo solitario y con la noche de aliada
Sus ojos vacíos son preludio de agonía y llanto
Posados en muertas ramas junto con malos presagios

Antiguos grimorios son augurio de un mañana cruel
Cada vez más el orbe toma la forma del infierno de brueghel
Las calles desérticas trascenderán el tiempo de manera icónica
Habitamos en la ribera de la noche plutonica

Antiguas víboras roen vorazmente sus nidos
Roja la cúpula del planeta por la sangre de los caídos
Carroñeros emisarios transmutan miseria en desgracia
Psicosis en necropolis incertidumbre en las plazas

El fuego del crepúsculo señala restos de ínfulas
Hermosa y nefasta ave posada sobre restos de gárgolas
Sirvientes de la podredumbre con negro plumaje
Son el triste Epílogo de una oscura historia con coraje

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CHORUS:
Depuis sa potence le passeur d'âme grignote des os,
Solitario calvario entre funestos huesos,,
Le silence ne se posera plus sur un buste de Pallas,
Con intensa locura grito el cuervo nunca mas.
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Tâche plaisante pour un charognard assis sur son arbre perché,
De se nourrir des corps vidés tant convoités,
Ou contempler les restes encore fumant du premier de corvée,
Se balançant au bout d'une corde et sans reflet dans la cornée,

Aimant à nécrophages, magnétique comme une carte à code,
Le cercueil est son trésor, le sarcophage sa fortune,
Sinistre avance sur héritage, plus de place dans les catacombes,
Un essaim fonce du ciel jusque dans les fosses communes.

Des ruines noircies d'une cathédrale résonnent des sifflements,
Les vieux démons ressurgissent, entends-tu le chant des partisans,
Y'a des églises, des éclipses, des ellipses écclésiastiques,
Et 7 milliards de terroristes assis sur une mine de plastique.

Qui sont ces oiseaux qui se gaussent, alors qu'ils ne savent pas valser,
Ni leurs becs n'embrassent, ni leurs ailes n'enlacent.
Les ténèbres emportent avec elles les âmes perdues quand vient le soir,
Et les cris des corbeaux, épilogue d'une sombre histoire.

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CHORUS:
Depuis sa potence le passeur d'âme grignote des os,
Solitario calvario entre funestos huesos,,
Le silence ne se posera plus sur un buste de Pallas,
Con intensa locura grito el cuervo nunca mas.
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